Bruce Springsteen réagit à la mort de Liam Payne

A priori, on ne voit pas trop ce qui pourrait relier le Boss au jeune chanteur Liam Payne, membre du boys band One Direction, disparu le 16 octobre dernier en chutant depuis la fenêtre de sa chambre d’hôtel à Buenos Aires.

Pourtant, pour Bruce Springsteen, les choses sont claires : c’est l’industrie musicale qu’il faut pointer du doigt ; et surtout la pression qu’ils imposent aux artistes.

C’est ce qui ressort d’une interview donnée par le natif du New Jersey au journal britannique The Telegraph :« C’est quelque chose de courant dans mon business », déplore le Boss « Les jeunes artistes ont une pression pas possible sur les épaules et n’ont pas toujours la possibilité de se protéger des nombreux avantages qu’offrent le succès et la notoriété ».

 Des pièges auxquels Bruce Springsteen a été confronté tout au long de sa carrière « Je comprends très bien. J’ai, moi aussi, dû lutter avec certaines choses. Danny Federici (décédé en 2008) également car les drogues ont fait partie du E. Street Band, vous savez ».

Pour le Boss, c’est un peu comme un culte de la mort : des jeunes qui y passent avant l’heure, ça n’est pas nouveau mais c’est bon pour les maisons de disques.

Bruce Springsteen rejoint donc la longue liste de personnalités du monde de la musique pour qui la mort de Liam Payne est un immense gâchis qui aurait pu (dû) être évité.