Amy Macdonald
Publié : 13 avril 2010 à 16h30 par
Le premier : This Is The Life, et le second : A Curious Thing. La toute jeune Amy Macdonald est révélée au grand public durant l’été 2008, qui résonne encore de son single This Is the Life. Elle a alors à peine vingt ans. Deux ans plus tard, elle revient avec un nouvel album, qui confirme le talent précoce de cette révélation britannique. Amy Macdonald naît en 1987 au nord de Glasgow, dans la petite ville de Bishopbriggs, où elle conserve ses attaches, tout comme son charmant accent écossais à couper au couteau. Ce sont justement des écossais, le groupe Travis, qui donnent à la jeune Amy l’envie d’apprendre la guitare en autodidacte, et elle commence à écrire ses premières chansons. L’adolescente se révèle douée pour la musique, puisque très vite, elle joue dans les pubs et les coffee shops de Glasgow. Au début de l’année 2007, Amy joue même en première partie du chanteur et compositeur anglais Prince. Deux mois plus tard, c’est l’album This Is the Life qui suit, avec un single éponyme qui devient alors le tube du moment. Et ce sont 600.000 exemplaires de l’album qui s’écoulent rien qu’en Grande-Bretagne. Pour continuer sur cette voie prometteuse, Mercury lance la jeune femme dans le monde entier au cours de l’été 2008. Et le public est charmé par sa voix limpide et forte, et ses mélodies accrocheuses. Le single This Is the Life devient numéro un dans dix pays. La tournée est effrénée, et c’est au cours de rares pauses qu’Amy se replonge dans ses carnets pour s’atteler à l’écriture de nouvelles chansons. En 2010, la jeune femme, qui ne manque pas de plomb dans la tête, revient avec un nouvel album. A Curious Thing, clin d’œil à l’aventure qu’elle mène depuis près de trois ans, est porté par le single Don’t Tell Me That It’s Over. Paul Weller est toujours présent, jouant notamment de la basse et de la guitare sur deux morceaux. Plus dense et plus profond, l’album est né dans le petit studio de son manager et producteur Pete Wilkinson, où Amy avait déjà ses marques, mais où elle a aussi ressenti le besoin de se retrouver après un tel tourbillon. (Source : Biographie d’Amy Macdonald, par Nikita Malliarakis, pour