Patrice
Publié : 6 janvier 2014 à 19h29 par Anne Jousselin
En concert à la Laiterie le 8 février prochain.
En concert à la Laiterie le 8 février prochain.
Hambourg, son port sur la Mer du Nord, ses marins en bordées nauséeuses dans Sankt Pauli... En lieu et place du Star Club des early Beatles, une plaque commémorative et, sur le boulevard périphérique, l’ombre du clocher dévasté en plein tocsin par les bombardements alliés. C’est pourtant dans ce décor que Patrice a trouvé les racines spirituelles qui le lient à la mythique Jamaïque. Fils d’une mère allemande et d’un écrivain africain, jonglant avec l’anglais, la langue de la Sierra Leone et le patois jamaïcain, il a rencontré une africanité d’adoption dans les disques de Billie Holliday, Burning Spear, Max Romeo et Fela qui tournaient sur la platine familiale. Et c’est en empruntant ce sillon qu’il a désormais conquis l’Europe, rencontrant un public qui ne cesse de s'élargir au fur et à mesure de ses pérégrinations musicales jalonnées d'albums atolls et de chansons brise-lames.
Hambourg, son port sur la Mer du Nord, ses marins en bordées nauséeuses dans Sankt Pauli... En lieu et place du Star Club des early Beatles, une plaque commémorative et, sur le boulevard périphérique, l’ombre du clocher dévasté en plein tocsin par les bombardements alliés. C’est pourtant dans ce décor que Patrice a trouvé les racines spirituelles qui le lient à la mythique Jamaïque. Fils d’une mère allemande et d’un écrivain africain, jonglant avec l’anglais, la langue de la Sierra Leone et le patois jamaïcain, il a rencontré une africanité d’adoption dans les disques de Billie Holliday, Burning Spear, Max Romeo et Fela qui tournaient sur la platine familiale. Et c’est en empruntant ce sillon qu’il a désormais conquis l’Europe, rencontrant un public qui ne cesse de s'élargir au fur et à mesure de ses pérégrinations musicales jalonnées d'albums atolls et de chansons brise-lames.